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16 septembre 2006

La Banque Mondiale lance une nouvelle stratégie de coopération avec le gouvernement egyptien

La Banque Mondiale (BM) a lance une nouvelle "stratégie de coopération avec le gouvernement égyptien" pour les quatre prochaines années (les exercices fiscaux 2006-2009).

Dans son discours prononcé lors de la cérémonie organisée à cette occasion, le directeur de la Banque Mondiale au Caire, Emmanuel Amby, a affirmé que la BM était d'accord avec l'agenda égyptien de la réforme.

Il a souligné qu'il existe une importante convergence de vues avec le gouvernement égyptien en ce qui concerne les principaux défis du développement du pays.

Il a salué les mesures prises par le gouvernement égyptien depuis sa formation en juillet 2004. "Le gouvernement a pris de mesures courageuses, dans le cadre des reformes politiques ce qui a aidé a la hausse du taux de croissance économique grâce aux développements extérieures convenables", a-t-il noté.Banque_20Mondiale

Il a précisé que la stratégie de la BM indique que l'équipe de la banque chargée du dossier egyptien propose d'aider le gouvernement a réaliser ses objectifs, à savoir, faciliter le développement du secteur privé, augmenter la prestation des services publiques et renforcer l'égalité.

A cet égard, la stratégie propose l'octroi d'un programme de financement ayant pour valeur moyenne 500 millions de dollars par an afin de soutenir les principaux objectifs du développement dans la stratégie de coopération avec le gouvernement égyptien.

Selon cette stratégie, les principaux objectifs du gouvernement égyptien sont "la hausse durable du PIB", "l'apaisement de l'acuité de la pauvreté" et "la réduction de la différence entre les revenus des Egyptiens".

Dans sa stratégie, la BM souligne que pour réaliser ces objectifs, le gouvernement tente d'augmenter la contribution du secteur privé, en tant que facteur du développement, côte à côte avec la réactivation du rôle du secteur public dans l'économie.

Et la BM de dire que l'efficacité du secteur privé de renforcer la croissance augmente à travers l'amélioration du climat d'affaires en appliquant un nombre de politiques couvrant les domaines du commerce, de finances et de taxes.

La BM ajoute que le renforcement du rôle complémentaire du secteur public nécessite la hausse de la prestation des services publiques, comme l'infrastructure, l'enseignement et la stabilité de la macro-économie.

La BM estime que la stratégie de développement à "double dimension", avec d'autres facteurs, aidera l'Egypte à faire face aux défis concernant la réduction du taux de chômage au moment où le nombre de la main d'oeuvre augmente.

La Banque souligne que le gouvernement égyptien vise également à réaliser l'égalité "en reformulant les politiques sociales afin d'aboutir aux objectifs de la prospérité nationale de manière plus efficace".

Concernant les classes démunies, incapables de contribuer au courant principal de la croissance économique ou affectées par les reformes économiques, la BM indique que le gouvernement égyptien à l'intention de renforcer le réseau de sécurite sociale pour qu'elle couvre davantage de catégories exposées aux dangers, l'augmentation de la performance du système à travers la décentralisation administrative, le renforcement des concepts de la participation sociale et la réactivation du rôle des ONG.

Selon la banque, l'égalité entre les diverses régions de l'Etat sera partiellement ameliorée par l'orientation de quelques investissements vers la Haute Egypte.

Pour faciliter le développement du secteur prive, la BM souligne qu'elle orientera son soutien vers la réalisation de trois objectifs déterminés : un secteur financier plus efficace pour qu'il puisse répondre aux besoins du secteur prive, l'existence d'un système commercial international caracterisé par la réduction du cout des transactions et des opérations et un climat d'affaires distingues par la baisse du cout des transactions et des opérations dès le début jusqu'à la fin.

La banque précisé que la Société Financière Internationale (SFI), l'Agence internationale de garantie des investissements (MIGA) et le programme des services consultatifs pour les investissements étrangers directs participeront dans ce projet.

Concernant la fourniture des services publics, la BM indique que son équipe sera chargée de s'assurer que la politique monétaire et financière va de pair avec les besoins de la stabilité de la macro-économie, outre l'augmentation et l'amélioration de la performance de l'infrastructure, comme l'énergie, le transport et les télécommunications.

La BM juge nécessaire le développement de la qualité de l'enseignement a tous les niveaux, l'amélioration de la qualité de l'air et de l'eau, et la performance de la gestion des ressources hydriques.

Selon la BM, cette stratégie vise à créer des sources et réaliser une qualité et une permanence financière du système des assurances sociales tout en tenant compte du renforcement de l'égalité afin d'améliorer l'efficacité des réseaux de sécurite, élargir le nombre des bénéficiants, réduire les différences entre la haute Egypte et le Delta, améliorer la capacité d'accorder aux pauvres les soins médicaux de qualité et de réduire la différence entre sexes.

Selon la stratégie, les mesures nécessaires pour réaliser ces objectifs ont effectivement commencé en Egypte lorsque le gouvernement a debuté, depuis sa formation en juillet 2004, un programme de reforme à long terme.

Selon Amby, la BM souligne que l'environnement politique et économique de l'actuelle stratégie de soutien est complètement différente de celle ayant eu lieu lors de l'élaboration de la stratégie précédente (juin 2001).

A la lumière de cet environnement, la BM indique pouvoir assurer un plus grand soutien que celui des dernières années.
Dans ce contexte, la BM affirme que selon la perspective de la politique structurelle et de la macro-économie, l'Egypte est actuellement qualifiée parmi "les cas essentiels".

La BM ajoute que le soutien financier et analytique du groupe de la BM vise à protéger la situation actuelle de la macro-economie et de la reforme.

La banque souligne avoir pris également en considération un scenario d'emprunts pour un cas plus haut avec une moyenne d'engagement qui s'élève a 700 millions de dollars.

Selon la banque, ce scenario stipule l'octroi de deux prêts pour les paiements rapides afin de soutenir les reformes dans le secteur financier, qui sont centrales pour améliorer le climat nécessaire pour développer le secteur privé.

Et la banque de dire que les raisons de hausser le niveau seront l'application de reforme substantielle dans le secteur financier et la mise en vigueur d'un plan financier afin de répondre aux besoins financiers du programme de la reforme du secteur financier.

Ce plan doit prouver qu'au moins 10% du financement vient de sources qui ne mèneront pas à l'emprunt.

La BM observe la stimulation déjà réalisée dans le mouvement de développement en Egypte, soulignant que le taux de croissance a atteint 4,4% en 2004 grâce à certaines reformes des politiques qui sont allées de pair avec des développements extérieures qui avaient soutenu la hausse du taux de croissance.

La BM salue le flottement, en début de 2003, de la valeur de la livre égyptienne en tant qu'une des plus importantes reformes.

Et la banque de dire que malgré les obstacles qui ont entraveéé la gestion de l'opération du flottement, l'importante baisse de la valeur (35%) en 2003 a aidé à l'augmentation des revenus de l'Egypte des devises etrangères à travers des sources comme le tourisme et les exportations industrielles.Egypte_carte

Selon la banque, parmi les développements extérieurs qui étaient en faveur de l'Egypte, figure la hausse en 2004 de la demande économique mondiale...Le taux de croissance économique mondiale a atteint 4%, ce qui a mené à l'augmentation du nombre des navires traversant le Canal de Suez.

La BM souligne que les exportations du gaz naturel et la hausse du prix du petrôle, outre la hausse de la demande sur les exportations égyptiennes principales, ont également aide a la hausse du taux de croissance de l'économie égyptienne.

La BM salue le progrès réalisé dans l'amélioration des indices de santé en Egypte, tout en soulignant qu'il existe toujours des défis à relever afin de favoriser l'assurance maladie pour les pauvres et améliorer la performance et la qualité des services médicaux.

La BM fait état de la présence des réseaux de sécurite pour les pauvres, même s'ils ont besoin d'amélioration et de développement.

La BM souligne également le progrès réalisé dans le domaine de la réduction de la différence entre les deux sexes en matière d'enseignement, de santé et de participation économique.

Selon la banque, le taux de participation de la femme à la main d'oeuvre est passe de 18% en 1994 a 22% en 2004, alors que sa capacite d'obtenir des prêts pour les PME est passé de 10% en 1994 a 27 % en 2004.

La BM exprime son appréciation au Conseil de cabinet égyptien pour son souci, depuis sa formation en juillet 2004, d'appliquer un programme de reforme à long terme dans le but d'améliorer le niveau de vie, réactiver les investissements, lutter contre le chômage, contenir l'inflation et améliorer la performance du système financier et des services administratifs.

Dans ce contexte, la BM fait remarquer que le gouvernement égyptien planifiait pour prendre des mesures facilitant le développement du secteur prive a travers l'amélioration des politiques commerciale et la privatisation.

La banque se félicite des amendements constitutionnels qui ont permis l'élection du président de la république par suffrage universel direct.

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13 septembre 2006

Le secteur égyptien des télécommunications et des technologies de l'information en chiffres

La performance du secteur des télécommunications et des technologies de l'information est active, ce que montrent les chiffres suivants:          

-  15 milliards de L.E., total des investissements dans ce secteur jusqu'à la fin de 2005, comprenant Egypt Telecom et les deux compagnies de téléphonie mobile Vodafone et Mobinil.

-  1530, nombre des compagnies égyptiennes et étrangères opérant dans le secteur des télécommunications et des technologies de l'information en Egypte jusqu'à la fin de 2005.

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-  40.000, nombre d'emplois crées par les compagnies opérant dans ce secteur.

-  16,7 milliards de L.E., valeur de la transaction de la 3e licence de téléphonie mobile qu'a remporté l'alliance regroupant la compagnie émiratie "Itisalat" (66%), la Poste égyptienne (20%), National Bank of Egypt (10%) et Commercial International Bank "CIB-Egypt" (4%).

          
-  22 milliards de L.E., estimations par les experts du total des investissements de la 3e compagnie de téléphonie mobile en Egypte.          

-  14 millions 30,751 mille, nombre des abonnes aux services de téléphonie mobile en Egypte jusqu'à mai 2006. Le nombre des abonnés à Mobinil s'élève à sept millions 143,714 mille, alors que Vodafone compte six millions 886,037 mille abonnés.    

12 septembre 2006

Le secteur bancaire égyptien en chiffres

Le secteur bancaire égyptien a témoigné d'une importante activité au cours des deux dernières années, soit la performance ou la structure, à la lumière des transactions de fusion ou de rachat, ce que montrent les chiffres suivants :

      - 59, nombre des banques opérant en Egypte au cours de l'exercice fiscal 2004/2005 contre 81 banques en 1990/1991.

      - 2847, nombre des filiales des banques opérant en Egypte au cours de l'exercice fiscal 2004/2005 contre 1882 en 1990/1991.

   Au cours de 2006, le secteur bancaire en Egypte a témoigné de nombre d'opérations de rachat, d'absorption et de fusion :

      - Le fonds américain d'investissement "Ripplewood" a racheté la partie publique de la Commercial International Bank "CIB-Egypt" (18,7%) au prix de 1,3 milliards de L.E., soit 53,5 L.E./Action.

      - La banque libanaise "Oda" a racheté 100% des actions de la banque "Le Caire/Far East" au prix de 542,4 millions de L.E..

      - La partie publique des actions de "Delta International Bank" (19,5%) a ete vendue aux grands actionnaires de la banque dont la Société arabe pour le Développement et l'Investissement, qui a augmente ses actions dans la banque a 14,8%.

      - La "Islamic Bank for investments and development", la "United Bank of Egypt" et "The Nile Bank" ont été fusionnées sous le nom de "United Bank", une entité ayant pour capital un milliard de L.E.. La Banque Centrale égyptienne possède 99,9% des actions de la nouvelle banque.

      - "Calyon-Egypt", dont 75% des actions appartiennent a la banque française "Calyon", a absorbé 74,67% des actions de la "Egyptian American Bank (EAB)" au prix de 2,2 milliards de L.E..

      - Un consortium conduit par "National bank of Bahrain" a absorbé 89,3% des actions de "Delta International Bank" dans une transaction ayant pour valeur 1,65 milliard de L.E..

      - "Ittihad National Emirati bank" a absorbé 94,6% des actions de "Alexandria Commercial and Maritime Bank", avec un prix de 244,5 millions de L.E.

11 septembre 2006

Le secteur egyptien de l'energie en chiffres

Le secteur égyptien de l'énergie représente un des secteurs pionniers et importants pour le développement de l'économie eéyptienne ce que montrent les chiffres suivants :

      - 102, nombre des accords pétroliers conclus au cours des sept dernières années.

      - 10,6 milliards de dollars, valeur des exportations égyptiennes en pétrole et en gaz naturel lors de l'exercice fiscal 2005/2006.

      - 305 millions de dollars, exportations égyptiennes en brut et en produits pétroliers en juin 2006.

     - 6,8 milliards de dollars économisés depuis la modification du prix du gaz naturel dans les accords pétroliers en 2000.

     - 11,5 milliards de dollars, estimations des revenus pétroliers de l'Egypte avec la fin de 2006.

      - 13 milliards de L.E., chiffre d'affaires des compagnies pétrolieres égyptiennes à l'etranger lors des quatre dernières années, dont sept milliards de L.E. ont été realisés seulement en 2006.

      - 20 milliards de dollars, valeur des produits pétroliers et du gaz naturel fournis par le secteur égyptien du pétrole pour répondre aux besoins du marche local.

      - Cinq trillions de pieds cubes (p3)/an , la moyenne du volume du gaz naturel liquéfié (GNL) atteint lors de ces six dernières annes.

      - 1,9 trillion p3, volume de la consommation locale et des exportations du gaz naturel en 2005/2006.

      - Huit, nombre des projets pétrochimiques géants mis en vigueur avec des investissements de 5,3 milliards de dollars.

      - Six, la classe mondiale de l'Egypte en ce qui concerne la valeur ajoutée des recherches et de prospections.

      - 67 trillions p3, volume de la réserve sure de l'Egypte en matière de gaz naturel.

      - 125 trillions p3, volume de la réserve probable de l'Egypte en gaz naturel.

      - 5,6 millards p3/day, volume de la production de l'Egypte en gaz naturel.

      - 13 millions tonnes métriques, volume de la production de l'Egypte en GNL.

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